𝐒𝐎𝐔𝐒 𝐋𝐀 𝐓𝐄𝐌𝐏𝐄̂𝐓𝐄
Dans la cour d'une maison, un chien enchaîné,
Ses yeux tristes regardent le ciel nuageux.
La tempête approche, le vent commence à souffler,
Leurs aboiements se perdent dans le rugissement du tonnerre,
Envie d'un câlin, d'un petit geste.
La pluie tombe fort, mouillant sa fourrure,
Et son cœur bat plus fort qu'avant.
Souviens-toi des jours de jeux et de joie,
Quand il courait libre, plein d'énergie.
Maintenant il n'y a plus que la chaîne et le froid,
Et un profond désir d’un amour simple.
Le vent hurle, la nuit s'assombrit,
Et le chien solitaire dans son coin frémit.
Rêve de prairies, de champs sans fin,
Où je peux enfin courir, sans chaînes.